2005 - Septembre
Depuis le 1er janvier 2005, les frais de restaurant sont déductibles à 69 %. Les frais de réception ne le sont, par contre, toujours qu’à 50 %. Comment distinguez-vous les deux types de frais ?
Faites donc d’une pierre deux coups
Si votre société songe à augmenter son capital, elle aurait fiscalement intérêt à le faire encore durant cet exercice comptable-ci. Pourquoi donc ?
Un détour par chez votre conjoint…
Bien des indépendants réalisent, en vendant leur immeuble commercial, le produit d’années de labeur. Mais, hélas, cette vente est soumise à l’impôt. Sauf si vous êtes en nom personnel et que vous procédez comme suit…
Les modalités de calcul de l’avantage imposable relatif à une voiture de société sont fort intéressantes depuis 2004. Certains contrôleurs ne peuvent toutefois s’y plier et ont changé leur fusil d’épaule…
Quand vous investissez, vous avez droit à la déduction pour investissement, à certaines conditions. Cette déduction sera toutefois abrogée sous peu pour les sociétés. Comment en tenir compte au mieux ?
Pas d’enregistrement, pas de déduction de frais ?
Un gérant loue, depuis quelque temps déjà, un immeuble à sa société et voilà que le contrôleur de cette dernière prétend soudain qu’elle ne peut pas déduire le loyer qu’elle paie, vu que le bail n’est pas enregistré. A juste titre ?
Un contrôleur peut-il aisément s’informer à l’étranger ?
On parle beaucoup des échanges d’informations entre les administrations fiscales nationales. Qu’en est-il en pratique ? Votre inspecteur des Contributions peut-il aisément recueillir des informations à l’étranger ?
Un arrêt de la Cour de justice européenne permettait d’économiser de la TVA sur les avantages de toute nature, mais voilà que le fisc ne se donne pas pour battu et a annoncé des contre-mesures. Voyons ce qu’il en est exactement.
Lorsque vous constituez une société ou si vous détenez une grosse créance sur votre société, vous pouvez parfois faire en sorte d’être libéré d’un seul coup de toutes vos dettes personnelles. Comment donc ?
Réfuter un déficit indiciaire grâce à un prêt ou un don d’un parent, ce n’est pas sans danger. Un récent jugement le montre bien. Quel est le problème ?
Vous vendez votre maison ou un de vos immeubles de rapport. N’ayant pas le temps de réaliser vous-même cette vente, vous faites appel à un agent immobilier. Quels sont les points auxquels vous devez faire attention au moment de signer un contrat de courtage et à quoi être attentif si le bien sort de l’ordinaire ?
Créer une preuve des années après…
Vous avez reçu p.ex. 150 000 € de vos parents il y a deux ans, somme que vous avez consacrée au financement d’une partie de votre maison. Vous étiez à ce moment focalisé sur votre achat, et ni vous, ni vos parents n’avez réfléchi à cette donation. Pouvez-vous encore en établir la preuve, et cela a-t-il un sens ?
A la recherche d’équivalents à Electrabel…
De plus en plus d’investisseurs recherchent des actions “de bon père de famille”, offrant un dividende élevé. Mais où peut-on encore trouver de telles actions, à présent que l’exemple type, Electrabel, va être repris par Suez ? Et comment s’assurer de ne pas payer deux fois le précompte mobilier (PrM), ou de ne pas courir de risque démesuré à trop se focaliser sur un dividende.
Emprunter pour investir dans un appartement
Acquérir un appartement pour le mettre en location est un moyen populaire d’investir dans l’immobilier. Aujourd’hui que l’argent est si bon marché, vous désirez emprunter le plus possible, même si vous disposez des fonds nécessaires. Faut-il toutefois opter pour un taux fixe ou variable ? Nous examinerons aussi combien il faut rembourser par tranche de 25 000 € empruntés, et quels avantages fiscaux un tel emprunt peut apporter.
Que faire des actions au porteur de votre SA ?
Vous avez certainement dû lire dans les journaux que les titres au porteur sont amenés à disparaître. Que va-t-il advenir des actions au porteur de votre SA, dont vous avez p.ex. fait don à vos enfants ? Ou des actionnaires de votre SA qui, depuis des années déjà, n’apparaissent plus à l’assemblée générale qu’avec une action, de manière à éviter les droits de succession dans le futur ?
Un cadeau fiscal qui peut compter
Vous pensiez augmenter le capital de votre société de manière importante. Avez-vous intérêt à le faire cette année afin de bénéficier à plein de la déduction des intérêts notionnels en 2006, ou bien vaut-il mieux attendre l’année prochaine, quand le droit d’apport de 0,5 % sera supprimé ? Et en quoi consiste précisément cette déduction des intérêts notionnels ?
Vous souhaitez retirer 4 % ou plus par an de vos obligations, et êtes prêt à prendre (un peu) plus de risques. Quelles sont les possibilités intéressantes ?